SALLE 15

La Salle du Trône représente le principal espace institutionnel du Palais Archiépiscopal depuis sa création au XVIe siècle. Ses murs présent un décoration néo-rennaisance choisi par le Cardial Soldevila en 1907. Il ouvre ses murs à travers trois balcons qui laissent voir l’Ebre, les mêmes vues que le général José de Palafox pendant la guerre d’indépendance espagnole, puisqu’il disposa de son quartier général au palais archiépiscopal pendant 1808 et 1809. Tout le périmètre supérieur est parcouru par une galerie de 42 portraits d’appareil des prélats de Saragosse, dans lesquels les archevêques portent des vêtements et des éléments symboliques propres à leur grade et tempérament. L’archevêque Manuel Ureña, qui pose en costume de prêtre, fait une exception. L’ensemble contient la signature de nombreux auteurs importants tels que Goya, Juan Andrés Merklein, Luzán, Montañés, Alda, Gárate, Berdejo et Isabel Guerra.

La Salle du Trône représente le principal espace institutionnel du Palais Archiépiscopal depuis sa création au XVIe siècle. Ses murs présent un décoration néo-rennaisance choisi par le Cardial Soldevila en 1907. Il ouvre ses murs à travers trois balcons qui laissent voir l’Ebre, les mêmes vues que le général José de Palafox pendant la guerre d’indépendance espagnole, puisqu’il disposa de son quartier général au palais archiépiscopal pendant 1808 et 1809. Tout le périmètre supérieur est parcouru par une galerie de 42 portraits d’appareil des prélats de Saragosse, dans lesquels les archevêques portent des vêtements et des éléments symboliques propres à leur grade et tempérament. L’archevêque Manuel Ureña, qui pose en costume de prêtre, fait une exception. L’ensemble contient la signature de nombreux auteurs importants tels que Goya, Juan Andrés Merklein, Luzán, Montañés, Alda, Gárate, Berdejo et Isabel Guerra.

 

Francisco de Goya a peint le portrait de l’archevêque Joaquín Company en 1800. Sur un fond sombre émerge le personnage en démontrant la grande maîtrise technique de l’artiste, et sa capacité à capturer la psychologie des portraits. La composition est complétée par son bouclier et plusieurs textes, comme le contenu sur le papier qu’il tient de sa main droite, où figure la signature de l’artiste et la date d’exécution de l’oeuvre.

Francisco de Goya a peint le portrait de l’archevêque Joaquín Company en 1800. Sur un fond sombre émerge le personnage en démontrant la grande maîtrise technique de l’artiste, et sa capacité à capturer la psychologie des portraits. La composition est complétée par son bouclier et plusieurs textes, comme le contenu sur le papier qu’il tient de sa main droite, où figure la signature de l’artiste et la date d’exécution de l’oeuvre.

 

 

Le fauteuil de cérémonie néogothique qui préside la salle a été employé par le pape Jean-Paul II lors de sa visite apostolique en 1982 à Saragosse. À ce moment-la, il résidait dans ce palais c’est pourquoi cette salle est aussi connu sous le nom de «Salon de Jean-Paul II».

Le fauteuil de cérémonie néogothique qui préside la salle a été employé par le pape Jean-Paul II lors de sa visite apostolique en 1982 à Saragosse. À ce moment-la, il résidait dans ce palais c’est pourquoi cette salle est aussi connu sous le nom de «Salon de Jean-Paul II».